Si certaines sociétés ne sont plus du tout favorables à la pratique du BYOD, d’autres pensent s’y mettre sérieusement.

La mise en place d’une bonne politique de BYOD

Si certaines sociétés ne sont plus du tout favorables à la pratique du BYOD, d’autres pensent s’y mettre sérieusement. Comment faire pour que cela se passe au mieux ?

Au lieu de se demander quels sont les avantages et les inconvénients du BYOD, il vaut mieux se poser quelques questions sur son utilité dans la vie de l’entreprise.

Pour une bonne pratique du BYOD

Au lieu de se demander quels sont les avantages et les inconvénients du BYOD, il vaut mieux se poser quelques questions sur son utilité dans la vie de l’entreprise. Cela permet de le cerner et de le gérer avec efficacité.

Définir les collaborateurs concernés

La première chose à faire est de déterminer le type d’employés qui pourrait en faire usage, si la pratique ne concerne que quelques métiers ou seulement les principaux dirigeants. En effet, il faut savoir que tous les collaborateurs ne sont pas autorisés à pratiquer le BYOD. Pourtant, une interdiction pure et simple n’empêchera pas les autres d’amener leur appareil personnel. Une réalité risquant d’entrainer des complications si on n’y fait pas attention.

 En effet, il faut savoir que tous les collaborateurs ne sont pas autorisés à pratiquer le BYOD.

Déterminer les appareils qu’on peut utiliser

Vient ensuite la définition des appareils que les autorisés peuvent apporter. Concrètement, cette possibilité ne doit pas se limiter à une seule marque ou un seul système d’exploitation en particulier, mais l’usage de plusieurs types d’appareils risque de rendre complexe le travail du DSI et du patron de l’entreprise. Donc il est préférable de réduire la pratique du BYOD à certains appareils performants plus facile à gérer. La procédure sera la même pour les tablettes tactiles.

Utiliser des applications fiables

Quant aux applications utilisées, elles doivent faire l’objet d’une vérification minutieuse. Dans ce cas, il faut déterminer à l’avance les logiciels et les applications que les employés autorisés ont le droit d’utiliser. En outre, définir s’ils sont extérieurs à l’entreprise ou spécifiquement programmés pour l’usage des employés. Enfin, savoir si on doit passer par une interface multi-OS ou multi-écrans genre Exo U. Toutefois, noter que cette restriction n’empêche pas certains travailleurs d’utiliser d’autres applications interdites pouvant mettre en péril la sécurité informatique de l’entreprise. Une certaine liberté, mais calculée serait alors de mise.

 Donc il est préférable de réduire la pratique du BYOD à certains appareils performants plus facile à gérer.

L’implication des autres branches d’entreprise

Pour la bonne marche du BYOD, il faut également y impliquer les autres branches de l’entreprise que ce soit les ressources humaines, les juristes ou le DSI. Avec des regards différents, ils apporteront chacun leur propre jugement et participeront à la bonne marche de la pratique du BYOD pour que celui-ci n’impacte pas sur la sécurité de l’entreprise.

 

La mise en place d’une infrastructure réseau assez puissante

Avec la multiplication des objets connectés sur le lieu du travail, il arrive aussi que le réseau existant ne puisse plus satisfaire les besoins des employés en termes de vitesse de connexion. Prévoir alors une infrastructure suffisante pouvant assurer un réseau de qualité. Avec des routeurs Wi-Fi puissants en plus des forfaits mobiles suffisamment volumineux des collaborateurs, on peut aisément arriver à augmenter les débits fixes de l’entreprise.

La prévention des incidents

Enfin, ne pas oublier de se parer à toute éventualité d’attaques virtuelles ; elles peuvent surgir à tout moment et de n’importe quelle façon.